Arrête-moi si tu peux
Fiche technique
Production: Steven
Spielberg, Walter Parkes, Daniel
Lupi, DreamWorks Pictures
Scénario: Jeff Nathanson
Interprètes: Leonardo DiCaprio (Frank W. Abagnale),
Tom Hanks (Joe Shaye), Jamie Anderson (Ailene), Christopher Walken
(Franck Abagnale Sr.), Martin Sheen ; Amy Adams (Brenda), Ellen Pompeo
(Marci), Frank John Hughes (Tom Fox), Brian Howe
(Earl Amdursky),
Nathalie Baye (Frank Abagnale mother)
Décors: Jeannine Oppewall
Musique: John Williams
Durée cinéma: 2H 21nm Couleur
L'histoire vraie d'un véritable imposteur.
Pour complèter votre information sur le film, parcourez le cahier de
presse et les notes de production. Avec l'aimable autorisation de UIP et l'aide
de Michèle Abitbol Lasry des relations avec la presse pour le film.
Synopsis -
Des personnages haut en couleur -
Une époque haute en couleur -
L'étrange saga de Frank W. Abagnale
Notes de production
DES PERSONNAGES HAUTS EN COULEUR
ARRÊTE-MOI SI TU PEUX semblerait plus farfelu que le
plus fantaisiste des films hollywoodiens si son intrigue ne s'inspirait d'une
histoire réelle. " Il se passe parfois dans la vie des choses qui
dépassent notre entendement et notre imagination ", remarque d'entrée
de jeu Leonardo DiCaprio, interprète du rôle de
Frank William Abagnale junior. Le film évoque l'itinéraire hors
norme d'un escroc surdoué qui réussit dès l'âge de
seize ans à se faire passer pour un pilote de ligne, un médecin,
un avocat et un professeur, tout en fabriquant et encaissant pour plus de 2
millions de dollars en faux chèques.
Frank Abagnale : " Tout commença avec
le divorce de mes parents, qui eut sur moi un effet dramatique. Je fuguai et
me retrouvai seul au monde, démuni, sans diplôme, obligé
de mûrir très vite, d'acquérir de toute urgence un talent
qui me permettrait de survivre. Mais ce qui était, au départ,
un simple expédient devint vite un jeu. J'étais toujours à
l'affût de nouvelles opportunités, et grisé par le danger.
Plus je prenais de risques, plus la partie devenait excitante, alors même
que je me savais
condamné à la perdre à plus ou moins court terme."
L'autobiographie
d'Abagnale, " Catch Me If You Can " a passionné
depuis 1980 des millions de lecteurs, dont Steven Spielberg:
" Comme beaucoup d'entre eux, je suis tombé sous le charme de Frank
Abagnale junior à travers son livre. Lorsque je l'ai rencontré,
j'ai compris en une seconde qu'il ait pu abuser tant de gens et les convaincre
qu'il était médecin ou avocat. Son entrée dans l'âge
adulte s'est opérée dans des conditions hautement inhabituelles,
qui m'ont fasciné. Je crois réellement que Frank a été
très affecté par le divorce de ses parents. Les enfants réagissent
à cela de bien des façons, et Frank eut une réaction tellement
originale qu'elle méritait un film. Personnellement, j'ai toujours aimé
les films sur des crapules flamboyantes, comme Newman et Redford dans BUTCH
CASS/DY ET LE KID ou L'ARNAQUE, qu'on ne peut s'empêcher d'aimer alors
même qu'ils violent toutes les lois."
Le scénariste Jeff Nathanson découvrit
l'histoire d'Abagnale lorsque la coproductrice Devorah Moos-Hankin, présidente
de la société de production de Barry Kemp, lui envoya une cassette
où l'ancien escroc évoquait sa vie tumultueuse. comme pour Spielberg,
l'histoire rappela à Nathanson certains de ses films favoris.
Nathanson : "Elle provoqua en moi la même
jubilation que BUTCH CASSiDY ou VOL AU-DESSUS D'UN NID DE COUCOU, dont les héros,
criminels ou asociaux, vous séduisent envers et contre tout par leur
incroyable charme. C'est ce que j'ai ressenti dans cette simple cassette de
vingt minutes, et j'ai pensé que cela pourrait engendrer un bon film."
Le producteur Walter F. parkes fut tout aussi séduit
par les aventures d'Abagnale.
Walter F. parkes : "Sa vie est si extraordinaire
que chaque épisode suffirait à nourrir un film. Et le fait que
tout cela est VRAI ajoute encore à la saveur de cette histoire, la rendant
proprement irrésistible."
D'autres ont ressenti ce même engouement, mais bien que le livre soit
passé entre les mains de plusieurs producteurs, Abagnale reconnaît:
Frank Abagnale : "Je n'ai jamais pensé
qu'il deviendrait un film. Comment condenser en 2 heures cinq années
d'une vie si bien remplie? "
Walter parkes : "ARRÊTE-MOISI TU PEUX était
un projet passionnant mais délicat du fait qu'il se situe à cheval
entre plusieurs genres. Il couvre diverses périodes et facettes d'une
vie, et véhicule des émotions très contrastées,
du rire et des larmes. Ce qui constituait un challenge à tous les stades
de l'écriture et de la réalisation."
Jeff Nathanson : "Je trouvais le projet d'autant
plus intéressant qu'il est à la fois un thriller, un jeu du chat
et de la souris, un récit initiatique et un drame familial. Le film me
donnait une chance d'explorer tout cela à travers une période-clé
de la vie de Frank Abagnale."
C'est au cours des années soixante que l'adolescent Abagnale monta cette
stupéfiante et complexe série d'escroqueries, que facilitait sans
doute l'innocence ambiante
Walter parkes : "Je pense que c'est la naïveté
des sixties qui a permis à Frank de poursuivre si longtemps ses activités.
Cela se passait avant la contestation, à une époque où
l'on croyait encore que l' habit fait le moine, où l'uniforme vous conférait
automatiquement un certain prestige. Frank l'avait compris et misa là-dessus.
Cela l'aida à devenir un imposteur hors pair."
Steven Spielberg: "On se faisait étonnamment
confiance en ce temps-là, on se sentait en sécurité même
lorsqu'on laissait sa porte grande ouverte."
Un constat diamétralement opposé à MINORITY REPORT, avec
sa société futuriste répressive, dominée par la
peur et le soupçon. C'est précisément ce contraste qui
plut au réalisateur: " Je venais tout juste de finir MINORITY REPORT
et j'avais besoin de m'arracher à cette noirceur, de respirer un peu
d'air frais. J'aime enchaîner ainsi des films aussi différents
que JURASSIC PARK et LA LISTE DE SCHINDLER ou, maintenant, MINORITY et ARRÊTE-MOISI
TU PEUX. Et puis, c'était aussi l'occasion rêvée de travailler
avec un jeune acteur que j'admire depuis longtemps.Je suis fan de Leonardo DiCaprio
depuis BLESSURES SECRÈTES et sa phénoménale performance
d'acteur dans GILBERT GRAPE", poursuit Spielberg. "Leo est un acteur
très inventif. il est aussi son meilleur critique. Il m'est arrivé,
après avoir accepté certaines prises, de l'entendre dire: «
Non, non, je ne suis pas allé assez loin, laisse-moi essayer une fois
encore ». Il nous donnait alors invariablement quelque chose de brillant."
DiCaprio apprécia que Spielberg accepte et, mieux encore, encourage ses
contributions.
Leonardo DiCaprio: "C'est cela qui est merveilleux
chez lui. Steven est si ouvert pas seulement à moi comme acteur, mais
à tous ses collaborateurs. Cela contribue à en faire le grand
réalisateur que nous connaissons. Il nous aide à sortir le meilleur
de nous-mêmes et nous focalise tous ensemble sur un but commun."
Bien avant d'être choisi pour incarner Frank Abagnale, DiCaprio était,
de son propre aveu, « un immense fan » du livre " Catch Me
If You Can ". Des années plus tard, lorsqu'il reçut le scénario
de Jeff Nathanson, il bondit sur l'occasion d'interpréter cet escroc
emblématique.
Leonardo DiCaprio: "L'astuce de Frank apparaît
sans doute plus clairement à un acteur. Elle consiste à désorienter
l'interlocuteur, par exemple en invitant une caissière à dîner
au moment où on lui refile un faux chèque, Jouer ces situations
est un vrai régal pour un comédien."
Ayant eu l'occasion de rencontrer Abagnale, l'acteur rapporte qu'il perçut
chez lui des restes de son talent si particulier.
Leonardo DiCaprio: "À le voir, on n'imagine
pas qu'il puisse voler ne serait-ce qu'un timbre-poste. Mais il a une façon
bien à lui de vous capter par son regard, sa vitalité et son intelligence."
DiCaprio chercha à distiller ces traits subtils à travers son
interprétation, tout en se refusant à faire une imitation de Frank
Abagnale,
Leonardo DiCaprio: "Arrivé à un
certain stade, lorsque vous avez extrait suffisamment d'informations d'une personne,
vous devez suivre votre propre voie, créer le personnage et lui permettre
de mener sa vie, J'ai voulu capter le jeune Frank dans toute sa spontanéité,
au moment où il découvre le monde et se découvre lui-même.
J'ai cherché à traduire son émerveillement la première
fois où il aperçoit un pilote de ligne, doué de la prestance
d'une star ou d'un prince, mais aussi à montrer les gaffes qu'il commet
à ses débuts, Je n'ai pas voulu que ses imitations de pilote ou
de médecin soient parfaites car je pense que c'est davantage par sa personnalité,
son charme et sa capacité à désorienter qu'il a convaincu
les gens. Ces traits reflètent l'ego insolent d'un gamin audacieux qui
se croyait plus fort que tous, y compris le FBI et le prouva !"
Mais le FBI releva le défi et lança son agent spécial Carl
Hanratty aux trousses de l'escroc. Tom Hanks interprète ce poursuivant
obstiné, « fier de lutter contre les fraudeurs, escrocs et faussaires
»,
Steven Spielberg: " Abordant un registre qu'on
ne lui connaissait pas, Tom atteint un rare degré d'authenticité
dans ce rôle de bureaucrate modèle".
Loin de partager l'enthousiasme d'Hanratty, ses deux adjoints cachent mal leur
ennui et leur dédain.
Tom Hanks : "Mais Carl n'en a cure. Il aime son
travail et le vit intensément. Lorsque son itinéraire croise celui
de ce faussaire exceptionnellement doué et intelligent, il n'a plus qu'une
obsession: l'arrêter, si possible."
Steven Spielberg: "Dans le jeu du chat et de
la souris, la règle veut que la souris, plus futée, ait toujours
une longueur d'avance sur le chat, de plus en plus frustré. Toutefois,
notre agent a d'inépuisables réserves de patience et une inflexible
détermination. Il peut donc tenir très longtemps... "
Les créateurs du film comprirent très tôt que Carl ne devait
pas se borner à jouer au chat dans cette poursuite à rebondissements
et qu'il méritait un rôle sensiblement plus étoffé,
Walter Parkes: "Un adolescent qui se fait passer
pour un médecin, un pilote, un avocat, etc., cela peut donner lieu à
des épisodes formidables, mais si vous ne voulez pas que votre script
devienne une suite de péripéties anecdotiques, il faut lui fournir
une ossature. La solution a consisté à creuser le personnage de
l'agent du FBI. Au cours du développement, quelqu'un trouva la formule:
« Ce film est l'histoire d'un gosse qui quitte son père et en trouve
un autre. » Imaginez, d'un côté, ce gamin capable de jouer
n'importe quel rôle, de séduire toutes les femmes et de se faire
des millions de dollars, et, de l'autre, cet agent, totalement dénué
de charme, dont l'unique obsession est de prendre la mesure de ce jeune génie
et de l'arrêter. Quelque chose dans cette dynamique a intrigué
Tom Hanks et a stimulé son imagination. "
Tom Hanks : "Carl est impressionné par
le panache de son client et n'en revient pas de le découvrir si jeune.
Il réalise soudain qu'il est à la poursuite d'un ado incroyablement
doué, entraîné dans une aventure qui le dépasse,
il en vient presque à vouloir le protéger. Tout en traitant Frank
en criminel, il le perçoit comme un être humain fragile qui mérite
une chance de rachat. "
Leonardo DiCaprio: "Carl Hanratty devient finalement
la seule personne digne de la confiance de Frank, alors même qu'il multiplie
les efforts pour le capturer, Quelque chose en lui le désigne aux yeux
de l'adolescent comme un second père et un guide"
Mais aucun homme ne saurait valablement remplacer Frank Abagnale Senior, ni
effacer l'influence déterminante que celui ci eut sur son fils. Frank
junior lui vouait en effet une admiration sans borne, qui lui inspira sans doute
son étrange ligne de conduite.
Walter parkes : "Ce père charismatique
a joué un rôle clé dans la vie de Frank; à l'instar
de Willie Loman, le Commis Voyageur d'Arthur Miller, il poursuivait vainement
le Rêve Américain, qui lui échappait à chaque fois."
Choisi pour ce rôle pivot, Christopher Wal ken
explique:
Christopher Walken : " Frank Senior a probablement
encouragé la vocation de son fils par son propre penchant à la
mystification."
C'est Walter parkes qui suggéra le premier Walken pour ce rôle,
qui lui donnerait « une merveilleuse occasion de travailler avec Steven
Spielberg et Leonardo. »
Steven Spielberg : " J'admire Christopher Walken
et voulais depuis longtemps travailler avec lui. Le choix s'est imposé
à la seconde où Walter a avancé son nom."
Le respect admiratif de Leonardo DiCaprio pour Walken fait écho à
celui de Frank pour son père.
Leonardo DiCaprio: " Frank avait une confiance
inébranlable en son père, dont il trouvait les moindres actions
brillantes et ingénieuses. Je pense que mon admiration pour Christopher
Walken m'a aidé à jouer ce rapport père/fils. Partager
une scène avec Chris est une grande expérience professionnelle
et personnelle."
À chacune de leurs rencontres, Frank espère pouvoir utiliser l'argent
qu'il a frauduleusement acquis pour raccommoder son père et sa mère,
Paula. Car il les voit encore à travers les merveilleux récits
que Frank senior lui faisait de leurs amours cette idylle magique entre un fringant
GI et la jeune et belle Française qu'il ramena aux États-Unis
à la fin de la guerre.
Pour rendre justice au personnage de Paula Abagnale, Spielberg était
décidé à engager une actrice française. Il envoya
un scénario d'ARRÊTE-MOI SI TU PEUX à son ami Brian De Palma,
qui séjournait alors à Paris, et lui demanda s'il pouvait l'aider
dans cette quête.
Steven Spielberg: "Brian tourna des essais avec
plusieurs actrices, dont Nathalie Baye, que je connaissais depuis LA NUIT AMÉRICAINE.
C'est elle que j'ai voulue pour ce rôle."
Walter parkes : "La mère de Frank est
pleine de contradictions : elle adore son fils, mais c'est également
une créature assez égoïste une personnalité très
complexe qu'il fallait cerner en un petit nombre de scènes."
Nathalie Baye: "Je ne pense pas que ce soit une
épouse modèle, ni une très bonne mère. Ayant rencontré
son mari à dix-huit ans, elle a le sentiment d'être passée
à côté de la vie. Elle fume (beaucoup), elle boit, et elle
a un amant. Les Américains diraient qu'elle n'est pas politiquement correcte
"
Entré dans le monde adulte en se vieillissant de dix ans, l'insatiable
Frank multiplie les conquêtes. Il aura ainsi pour compagne d'une nuit
un ancien mannequin devenu call-girl, Cheryl Ann. Jennifer Garner interprète
cette belle jeune femme qui croit vendre ses services tarifés au fringant
« pilote ».
Spielberg avait remarqué Jennifer Garner dans sa célèbre
série «Alias », où elle joue chaque semaine un nouveau
personnage.
Steven Spielberg: "Sitôt que je l'ai vue,
j'ai prédit qu'elle serait la prochaine superstar. Elle était
prise par la série, mais je me suis demandé si elle accepterait
quand même ce petit rôle. Jennifer n'est venue qu'un jour sur le
plateau, et s'est montrée tout simplement remarquable.
Frank fera d'autres rencontres, moins brèves, La plus marquante, qui
le punira cruellement de ses impostures, se conclura même par ses fiançailles
avec la douce et candide Brenda Strong,
Leonardo DiCaprio: "Aussi fantastique et haut
en couleur que soit son quotidien, Frank reste un solitaire. Un jour, il rencontre
cette fille avec laquelle il pense pouvoir refaire sa vie. Mais il comprend
vite que ce n'était qu'un leurre il ne connaîtra jamais la vie
de famille idéale à laquelle il aspirait"
Amy Adams remporta le rôle de Brenda à l'issue d'une campagne de
plusieurs mois où furent auditionnées de nombreuses candidates.
Steven Spielberg : "J'ai eu la chance d'avoir
sur ce film une des meilleures directrices de casting de toute ma carrière:
Debra Zane. Elle m'a passé des vidéos de plusieurs Brenda potentielles,
mais j'ai vu qu'elle avait une préférence marquée pour
Amy Adams, dont elle serrait contre elle la cassette comme s'il s'agissait du
Graal! J'ai beaucoup aimé ce bout d'essai et l'ai montré le jour
même à Leo, au milieu de huit autres. Il a tout de suite accroché."
Walter parkes : " Amy possédait une qualité
fondamentale pour ce rôle: l'honnêteté. Au milieu de l'incroyable
mensonge qu'est devenu sa vie, Frank rencontre la seule personne pure et sincère
qu'il ait jamais connue, et en tombe amoureux. Mais, par une cruelle ironie,
cet amour repose tout entier sur une fiction et une imposture, il fallait que
l'interprète de Brenda puisse exprimer cette simplicité, cette
candeur, qui contrastent si fortement avec la conduite de Frank."
Amy Adams : " Brenda est naïve, mais elle
n'est pas que cela. Je comprends que Frank soit attiré par elle, Sa sincérité
et son honnêteté ont de quoi séduire quelqu'un qui vit depuis
si longtemps dans le mensonge, De son côté, elle est, bien sûr,
totalement subjuguée par lui. Qui ne le serait pas? Il est adorable0
Certes, Brenda est naïve et innocente, mais elle a aussi en elle une énergie
et une passion quasi incontrôlable, et c'était intéressant
de jouer toutes ces notes."
Après avoir fait sa demande en mariage, Frank (alias le « Docteur
» Frank Connrs) accompagne Brenda à la Nouvelle-Orléans
pour rencontrer son père, le procureur Roger Strong.
Walter parkes : " Martin Sheen confère
à ce personnage une présence et une majesté qui ne manquent
pas d'intimider Frank."
Accueilli à bras ouverts chez les Strong, Frank y retrouve, pour la première
fois, une ambiance authentiquement familiale. Mais il n'en profitera pas longtemps,
car son passé est sur le point de le rattraper.
Martin Sheen : "Frank aime sincèrement
Brenda. Il ravit la famille Strong par son charme, son intelligence et son charisme.
L'aventure finira mal, mais cela n'entache en rien la sincérité
de notre jeune héros. Je ne crois pas que Frank aurait pu réussir
de telles fraudes s'il n'avait été, au fond, un bon et honnête
garçon. Je pense que le public ressentira cela comme moi, et s'attachera
à lui dès la première image."
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